Descartes écrit 500 pages sur la médecine.
Sa vie trop courte – 54 ans – ne lui permet pas de rédiger le grand traité de médecine qu’il projette d’écrire.
Ses deux grands-pères sont médecins.
Il a accès aux ouvrages de Rhazès – le grand médecine persan – qui, lui-même, a eu accès à la Médecine chinoise, à la Médecine ayurvédique et à celle d’Hippocrate & Galien.
Descartes est formel :
Pour sauver sa peau, il faut TROIS médecines !
Ici, nous parlons de la Seconde et de la Troisième médecine.
Pour ce que je nomme la Troisième médecine, Descartes parle du :
Patient médecin de lui-même.
Plus une maladie est complexe – multifactorielle, plus le patient a son rôle à jouer.
Par exemple, quand le patient prend des augmenteurs de points de vie, c’est lui qui sent comment ça le booste.
Pour sauver sa peau il faut faire onze choses :

Voir l’article Médecine intégrée cartésienne
C’est le patient qui décide.
C’est le patient qui pilote.
À l’intérieur de chaque dimension, c’est le patient qui choisit telle où telle pratique efficace.
Il y a une sorte d’impératif du physiologique mais le patient est quand même libre de s’alimenter et de prendre des compléments à sa manière.
Articles : Autisme, carences, compléments.
Thérapie du Syndrome carentiel dégénératif.
À étudier
(Dan et al. 2020) sur le microbiote
