Trois médecines

Tous et toutes

C’est René Descartes qui observe que, si l’on veut soigner tous les patients de toutes les maladies, il faut impérativement trois médecines.

Et ces trois médecines doivent avoir chacune leur Ministère, leurs organes de contrôles, etc. parce que le mode de penser de chaque médecine est incompatible avec les autres.

Dans la Première médecine, on étudie l’effet d’une molécule de synthèse sur une maladie avec la méthode dite étude randomisée en double aveugle.

Dans la Seconde médecine, on attaque une maladie sur plusieurs fronts avec plusieurs plantes, minéraux, etc.
Chaque patient est un cas unique – voir l’exemple de la formule XCHT – ama+

Le patient est très attiré par l’illusion que l’on peut maintenir sa santé par :
– des thérapies successives à base de molécules industrielles
– des thérapies simples
Même confronté à l’échec flagrant de cette approche, il a beaucoup de mal à se faire à l’idée de son double besoin :
– d’une thérapie permanente, en particulier par son alimentation – ama+
– d’une polythérapie – de son terrain ET de ses symptômes

D’où la nécessité d’une Troisième médecine pour développer des manières de penser adaptées à la survie et au bien-être.

Les techniques d’analyse et d’exploration

Elles sont nécessaires aux Trois médecines. ama+

Note

Étude randomisée en double aveugle – WikiPédia