Résumé
C’est l’histoire d’un patient qui veut sauver sa tête sans sauver son corps.
Alors je lui raconte l’histoire en miroir : pour sauver son corps, il faut sauver sa tête.
Un art de la survie du corps
En 2015, parait l’ouvrage de Kelly Turner « Radical remission« .
Il est le résultat de l’étude de 1500 cas de patients qui ont été déclarés incurables – de tumeur ou de leucémie – et sont en pleine forme dix ou vingt ans plus tard.
Ces survivants ont tous fait les même 11 choses – tableau ci-avant à imprimer.
Avant que Kelly ne publie ses recherches, face à la question de ma propre survie, j’ai fait les mêmes 11 choses !!!
Pourquoi ?
Je l’explique dans un document vidéo de 15 minutes.
En bref :
En l’an 900, en Perse, Zakaria Al Razi, synthétise les médecines grecque, chinoise, etc.
Son travail est repris par Avicenne.
Descartes a un grand-père médecin qui a ces savoirs dans sa bibliothèque.
En 500 pages, la Médecine intégrée cartésienne expose comment sauver sa peau avec … les 11 trucs découverts par Kelly Turner !!!
Voir notre article sur la Médecine intégrée cartésienne en 2023.
Un art de la survie de la tête
Pendant la Seconde guerre mondiale, certaines zones géographiques n’ont plus reçu d’approvisionnement en blé.
Les médecins ont observé :
– quand le blé devient indisponible, la schizophrénie et d’autres troubles mentaux s’améliorent.
– quand le blé redevient disponible, les troubles mentaux réapparaissent ou s’aggravent.
Voir 4 références de travaux de recherche en fin d’article.
« Dis moi ce que tu manges, je te dirai comment va ta tête !«
Le blé n’est pas le seul aliment impliqué dans l’apparition ou l’aggravation de troubles mentaux.
Le sucre raffiné, le lait et les produits laitiers sont impliqués.
Bien évidemment, l’alcool, le tabac, etc.
Aller en thérapie quand un gros facteur du problème c’est l’alimentation risque de ne pas être efficace !
Les médicaments qui travaillent la tête : chut !!!
Je t’invite à interroger ton médecin traitant et/ou spécialiste pour lui demander quel médicament provoque – comme effet secondaire potentiel :
A) Encéphalopathie accompagnée de convulsions survenant quelques jours après l’administration du médicament.
B) Encéphalopathie caractérisée par une psychose survenant dans les jours suivant l’administration du médicament.
C) Encéphalopathie accompagnée de signes cérébelleux et d’anomalies IRM apparaissant des semaines après le début de l’antibiothérapie
Est-ce qu’il te répond : « différentes classes d’antibiotiques » – voir références ci après.
Est-ce qu’il te répond « IPP Inhibiteur de la pompe à proton » ?
C’est un médicament contre l’acidité gastrique que les Français prennent comme des bonbons !!!
Pourtant, l’IPP peut provoquer une encéphalopathie.
Mais aussi le valproate de sodium – anticonvulsivant – et combien d’autres ?
Les bactéries qui travaillent la tête
Juste un exemple.
Les bactéries Proteus, Pseudomonas aeruginosa, Klebsiella, Morganella morganii et Corynebacterium peuvent causer une hyperammoniémie.
À cause de la consommation du blé, grand-épeautre, kamut des patients ont une paroi intestinale trop fine qui laisse passer des bactéries du microbiote intestinal vers le flux sanguin.
Des maladies somatiques et/ou mentales sont provoquées par cet « intestin qui fuit ».
Pour soigner la tête, il faut également soigner le corps donc appliquer les 11 trucs décrits ci-avant !
Quel pourcentage de patients de la tête sont seulement en thérapie de la tête alors qu’un facteur corporel important devrait être traité ?
Dans les articles en références, le mot « sous-évalué » ressort à plusieurs reprises.
Il faut soigner la tête ET les jambes !
P.S. : À propos de la tête, je viens d’écrire sur la psychanalyse.
Références
Blé et troubles mentaux
Dohan FC (1966) Wheat “consumption” and hospital admissions for schizophrenia during World War II. A preliminary report. Am J Clin Nutr 18: 7-10.
Dohan FC (1976) The possible pathogenic effect of cereal grains in schizophrenia. Acta Neurol (Napoli) 31: 195-205.
Liester MB, Liester MG: A review of psychiatric disorders associated with celiac disease. Dual Diagn: Open Access 2017; 2(2):1 Google Scholar
Severance EG, Yolken RH, Eaton WW. Autoimmune diseases, gastrointestinal disorders and the microbiome in schizophrenia: more than a gut feeling. Schizophr Res. 2016 Sep;176(1):23-35. doi: 10.1016/j.schres.2014.06.027. Epub 2014 Jul 15. PMID: 25034760; PMCID: PMC4294997.
Encéphalopathies et antibiotiques
Les réponses sont :
A) Causée par les céphalosporines et la pénicilline
B) Causée par les quinolones, les macrolides et la pénicilline procaïne
C) Causée par le métronidazole
Bhattacharyya S, Darby RR, Raibagkar P, Gonzalez Castro LN, Berkowitz AL. Antibiotic-associated encephalopathy. Neurology. 2016 Mar 8;86(10):963-71. doi: 10.1212/WNL.0000000000002455. Epub 2016 Feb 17. Erratum in: Neurology. 2016 May 31;86(22):2116. PMID: 26888997.
Muradbegovic J, Leidi A, Serratrice J. Encéphalopathie au céfépime [Cefepime-induced encephalopathy]. Rev Med Suisse. 2019 Nov 27;15(673):2210-2212. French. PMID: 31778052.
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